D’après un rapport très récent des directeurs d’associations sur le microcrédit au Maroc, les activités sur le marché sont restées soutenues en 2018. En effet, avec 200 000 nouvelles souscriptions que l’on a enregistrées par année, le nombre total de preneurs est alors proche des 950 000 afin de recourir à un crédit total de 6,5 milliards de DH d’environs.
L’aggravation du risque est accompagnée par le dynamisme du marché concernant le microcrédit
Le secteur marocain sur le microcrédit reste assez dynamique avec une hausse continue de l’encours de crédit et du nombre de bénéficiaires. Cependant, cette forte croissance s’accompagne aussi d’une augmentation du risque. En effet, les résultats des associations sont impactés assez lourdement par la déflagration des impayés.
Chez le numéro au Maroc, Al Aman Microfinances, par exemple, le taux de menace des clients a monté à 3 % (+1 point). Pourtant, il reste encore le contenue pour les 2.5 milliards de DH ce crédit accordé l’an dernier ainsi que 5 % que l’on a observé en 2011.
Il n’y a aucun évènement spécifique qui est en cause de ce mouvement. D’après un spécialiste du secteur, il faut tout simplement y voir les effets de la multiplication de l’exercice 2017. Effectivement, le délai pour le remboursement est toujours aux environs de 2 ans, mais le turn-over est à 5 ans en moyenne pour l’acquéreur. En conséquence, le tarif des nouvelles souscriptions et des renouvellements des lignes de financement d’acquéreur qui existe sur une année influe autrement sur les chiffres que l’on enregistre l’année suivante.
En outre, les efforts des différentes associations du microcrédit collaborent à convenir les conséquences néfastes des défaillances de acheteurs. Parmi les mesures que l’on a prises pour l’amélioration de la gestion des risques se trouvent des processus optimisés, un plus strict contrôle ainsi qu’une amélioration de recouvrement assez agressive. De plus les microcrédits, il y a tendance à obtenir des crédit renouvelables en ligne. Pour en savoir plus, vous pouvez faire une recherche sur le net et découvrir comment « convertir or en cash« .
Les groupements de microcrédit se préparent à une possible reconfiguration du marché
Pour offrir aux Très Petites Entreprises, majoritairement exclus des bénéficiaires de circuits bancaires classiques, il y a une solution de financement, une limite d’octroi des prêts élevée de 200 %, et à 15 000 DH. En outre, cette mesure vise à donner au microcrédit une plus importante place dans le paysage financier, mais aussi contribuer à la hausse des activités rémunératrices.
Cependant, cela exige des groupements une forte capacité financière et des ressources techniques et humaines supplémentaires qui sont administrées par des agences dédiées. Par conséquent, seules les grandes structures sont une opportunité de se développer, et cela peut conduire à une réunification du marché. Dans l’attente des décrets d’application, les groupements se préparent à la conversion en préparant et en formant leurs cadres.